Dr. Alexandre HUSSON
Cabinet médical laser & esthétique
Centre de médecine esthétique situé à Saint-Germain-en-Laye, dans les Yvelines, nous proposons dans un cadre sobre et confidentiel, des soins esthétiques et des traitements laser 100% médicalisés, notamment l’épilation laser « définitive », et le détatouage.
Épilation Laser
des phototypes des plus clairs aux plus foncés
L’épilation laser détruit progressivement et définitivement la pilosité indésirable. Elle peut être pratiquée chez la femme et l’homme. Adaptée à tout type de peau, on utilise le laser Alexandrite pour les peaux claires, et le laser Nd:YAG pour les peaux mates et foncées. L’épilation laser est efficace sur tout type de poils, sauf les poils blancs et les poils roux.
Lasers dermatologiques : des technologies de pointe
pour gommer toutes vos imperfections
Les lasers dermatologiques de pointe permettent de traiter les rides, l’acné, les cicatrices, les taches brunes pigmentaires et les tatouages. Ces traitements non invasifs sont adaptés à chaque carnation pour des résultats précis et sûrs
Peau & prévention
Prendre soin de sa peau à tout âge
Préservez la santé et l’éclat de votre peau grâce à une approche préventive et des soins adaptés.
Avis Google
Découvrez ci-dessous les témoignages de nos patients et leur expérience au sein du cabinet.
Actualités
Découvrez dans cette section du blog toutes les informations sur les différents traitements lasers.
Les échanges avec les internautes
Gabrielle
Publié le 02 décembre 2025
J’ai une kératose pilaire légère mais persistante sur l’arrière de mes bras. Je souhaite commencer les séances de laser, mais j’aimerais d’abord savoir si cela est sûr dans mon cas. De plus, est-il nécessaire d’appliquer des crèmes kératolytiques et, si oui, combien de temps avant la séance dois-je arrêter de les utiliser ? Merci d’avance Dr Husson pour votre réponse
Dr Husson
Publié le 14 décembre 2025
Bonjour,
La kératose pilaire n’est pas une contre-indication au laser et il est tout à fait possible de débuter les séances en présence d’une forme légère et stable. Le traitement laser peut même améliorer l’aspect de la peau sur le long terme, en réduisant les poils responsables de l’inflammation locale.
Concernant les crèmes kératolytiques (acide salicylique, urée, AHA…) : – Vous pouvez continuer à les utiliser au quotidien, – mais il est préférable de les arrêter 3 à 5 jours avant la séance, afin d’éviter une irritation cutanée le jour du traitement.
Le jour du laser, la peau doit être propre, non irritée et parfaitement rasée.
N’hésitez pas si vous avez d’autres questions ou besoin d’un avis personnalisé avant de commencer.
Bien cordialement.
Dr Husson
Saloua
Publié le 13 novembre 2025
Bonjour Dr Husson, J’ai essayé plusieurs méthodes d’épilation classiques, mais les résultats étaient temporaires et souvent douloureux. L’épilation au laser, en revanche, a été vraiment exceptionnelle. Les séances sont rapides et supportables, les poils repoussent très lentement. Ma peau est douce et lisse, et il n’y a presque plus aucun poil indésirable.
Dr Husson
Publié le 14 décembre 2025
Bonjour,
Merci pour votre retour. Je suis satisfait d’apprendre que les séances se sont bien déroulées et que vous êtes contente du résultat obtenu.
Bien cordialement.
Dr Husson
Léontine
Publié le 15 octobre 2025
Cela faisait des années que je cherchais une solution définitive pour me libérer de l’obligation constante de m’épiler. C’est pourquoi j’ai commencé des séances de laser chez le Dr Husson. J’ai remarqué que la repousse des poils est devenue beaucoup plus lente, et certains ne repoussent plus du tout. Aujourd’hui, ma peau est plus douce, sans boutons ni poils incarnés. C’est un vrai confort et un gain de temps considérable.
Dr Husson
Publié le 14 décembre 2025
Bonjour,
Merci pour votre retour.
Bien cordialement.
Magali
Publié le 11 septembre 2025
Bonjour Dr Husson, l’épilation laser est-elle efficace sur les poils liés aux hormones, notamment en cas de troubles hormonaux légers ? Merci à vous
Dr Husson
Publié le 14 décembre 2025
L’épilation laser est-elle efficace sur les poils liés aux hormones ?
Oui, l’épilation laser peut être efficace sur les poils hormonodépendants, mais son efficacité dépend de plusieurs facteurs :
– type de poil (mélanine, diamètre, profondeur du follicule),
– stabilité du contexte hormonal,
– localisation des poils (menton, mandibule, cou, ligne médiane…),
– rapidité du cycle pilaire, souvent accéléré dans les zones hormonales.
Selon les données actuelles, les poils stimulés par les androgènes répondent au laser, mais nécessitent en moyenne 2 à 3 séances de plus qu’une pilosité non hormonale.
Pourquoi les poils hormonaux répondent-ils différemment ?
1. Stimulation androgénique chronique
Les androgènes (testostérone, DHEA, androstènedione) transforment des poils fins (duvet) en poils terminaux pigmentés, plus profonds. Cette transformation est progressive et peut continuer même pendant un protocole laser.
2. Augmentation du nombre de follicules en phase anagène
Le laser n’agit que sur les follicules en anagène. Dans les zones hormonales, la synchronisation du cycle pilaire est moindre : plus de cycles = plus de séances.
3. Poils souvent plus profonds
Certaines zones présentent des follicules implantés plus profondément, nécessitant :
– une longueur d’onde adaptée (Nd:YAG pour phototypes élevés, Alexandrite pour phototypes clairs),
– une énergie plus élevée,
– un protocole strictement régulier.
L’épilation laser est-elle efficace en cas de troubles hormonaux légers ?
Oui, dans la majorité des cas, l’épilation laser reste efficace et sécurisée, à condition que la patiente soit correctement évaluée.
Même en présence :
– d’un syndrome des ovaires polykystiques léger,
– d’un hirsutisme idiopathique,
– d’une hyperandrogénie modérée,
Ce que montrent les données cliniques :
Réduction moyenne durable de 70 à 90 % des poils terminaux après protocole complet.
Dans un contexte hormonal actif : possibilité de repousses tardives, généralement plus fines.
Des séances d’entretien annuelles peuvent être nécessaires.
Une consultation médicale est-elle nécessaire ?
Oui. Elle permet :
– d’évaluer la nature hormonale ou non des poils,
– d’identifier une éventuelle hyperandrogénie,
– d’exclure les contre-indications,
de définir le protocole laser adapté.
Aucun diagnostic ne peut être posé à distance.
Sources (sélection)
1. Haedersdal M. et al. Laser Hair Removal: Systematic Review. Lasers Surg Med, 2020. 2. Nestor M. et al. Laser and Light-Based Hair Removal. Dermatol Surg, 2021. 3. Olsen E. Disorders of Hair Growth. McGraw-Hill, 2019. *4. ACOG Practice Bulletin – Hirsutism, American College of Obstetricians and Gynecologists, 2019. *5. NIH / MedlinePlus – Hirsutism overview. 6. Sharpe A. et al. Androgen physiology and hair follicle response, JCEM, 2021.
Aurélie
Publié le 05 août 2025
Bonjour Dr Husson, je suis intéressée par l’épilation laser, notamment pour ses effets durables et son confort au quotidien. Est-ce que ce type de traitement peut aussi aider à réduire les poils incarnés ou les irritations liées au rasage ? À long terme, observe-t-on une amélioration de la texture de la peau ou une uniformisation du teint ? Et y a-t-il des recommandations particulières pour optimiser les résultats selon les saisons ou le cycle du poil ? Merci d’avance pour vos retours.
Dr Husson
Publié le 14 décembre 2025
Bonjour,
L’épilation laser apporte effectivement des résultats durables, et elle présente plusieurs bénéfices documentés sur la qualité de la peau.
1. Le laser aide-t-il à réduire les poils incarnés et les irritations ?
Oui. L’un des effets les mieux établis du laser est la diminution des poils incarnés (folliculites) et des irritations provoquées par le rasage ou la cire.
En ciblant le bulbe du poil, le laser :
– réduit progressivement le nombre de follicules actifs,
– diminue l’inflammation locale,
– limite l’obstruction folliculaire → moins de poils incarnés, moins de rougeurs.
C’est souvent l’une des premières améliorations observées, même avant la disparition complète des poils.
2. Amélioration de la texture de la peau et uniformisation du teint ?
Le laser n’est pas un peeling, mais l’amélioration de la peau est classiquement rapportée :
– peau plus lisse, car il y a moins d’irritation mécanique et inflammatoire,
– atténuation des zones sombres (pigmentation post-inflammatoire liée au rasage),
– diminution des micro-papules et rougeurs autour des follicules.
Ces effets ne viennent pas directement du tir laser lui-même, mais de la réduction durable de l’activité folliculaire, qui supprime à la source les irritations répétées.
3. Recommandations selon le cycle du poil
Le cycle pilaire influence beaucoup l’efficacité :
Le laser agit sur les poils en phase anagène (phase de croissance).
Toutes les séances doivent être espacées de manière régulière pour capter les nouveaux poils entrants dans cette phase.
En pratique :
Visage : à la demande, 4 semaines minimum entre 2 séances
Corps : 4 à 12 semaines
Le respect du calendrier est essentiel pour optimiser les résultats.
4. Recommandations selon les saisons
Le laser peut être réalisé toute l’année, mais certaines précautions s’imposent :
– Pas de bronzage avant la séance : l’énergie doit être absorbée par le poil, pas par la peau.
– Pas d’exposition solaire dans les 2 semaines suivant le traitement.
En été, les zones très exposées (jambes, maillot si exposition) doivent être particulièrement protégées.
Pour les phototypes clairs, l’automne et l’hiver sont souvent les périodes les plus simples pour débuter, mais ce n’est pas obligatoire si les règles de photoprotection sont respectées.
5. Consultation préalable
Une consultation est indispensable pour :
– analyser votre nature de peau et de poils,
– vérifier l’absence de contre-indication,
– définir un protocole adapté à votre phototype et à vos objectifs.
Elle permet également de répondre précisément à vos questions, car certains aspects (teint irrégulier, taches, sensibilité, hyperpigmentation) nécessitent un examen visuel.
Si vous le souhaitez, vous pouvez prendre rendez-vous via Doctolib en choisissant le motif « épilation laser – première consultation ».
Bien cordialement.
Godeleine
Publié le 03 juillet 2025
Je souffrais d’un vieux tatouage que je voulais enlever depuis longtemps. Après avoir suivi des séances de détatouage au laser avec le Dr Husson, j’ai constaté une amélioration notable de l’apparence de ma peau. Il ne reste aucune trace, malgré que le dessin soit ancien et que ses couleurs étaient foncées.
Dr Husson
Publié le 14 décembre 2025
Merci pour votre retour.
Magali
Publié le 09 juin 2025
Je suis une jeune fille de 23ans, et je souffre de kératose pilaire sur mes demi-jambes et mon maillot, et je réfléchis à l’épilation au laser au nivau de mon corps. Cependant, j’ai quelques préoccupations concernant les résultats. Est-ce qu’un tatouage sur ma cheville pourrait empêcher le traitement ? De plus, est-ce que le laser peut aider à éliminer les poils incarnés ? Merci d’avance pour vos réponses.
Dr Husson
Publié le 18 juin 2025
Bonjour,
La kératose pilaire est une affection cutanée fréquente et bénigne, qui touche environ 30 % de la population. Elle se manifeste par un épaississement localisé autour des follicules pileux, donnant à la peau un aspect légèrement rugueux. Les zones les plus souvent concernées sont les bras, les cuisses, les jambes et parfois le maillot.
L’épilation laser peut contribuer à améliorer l’aspect cutané, en réduisant les poils qui entretiennent l’irritation locale. Bien qu’elle ne constitue pas un traitement curatif de la kératose pilaire, elle peut s’avérer bénéfique en complément, notamment lorsqu’il existe des poils incarnés fréquents.
Pour optimiser les résultats, il est également recommandé d’utiliser régulièrement des soins kératolytiques à base d’urée (10 à 30 %), qui aident à lisser la peau et à limiter l’accumulation de kératine. Voici quelques produits couramment utilisés :
* Xérial 10 ou 30 (SVR)
* UreaRepair Plus 10% (Eucerin)
* Kerapil (Ducray)
Ces crèmes s’appliquent quotidiennement, sur peau propre et sèche, en dehors des jours de séance laser.
Si vous êtes sujette aux poils incarnés, notamment au niveau du maillot ou des jambes, l’épilation laser est généralement la méthode la plus efficace. En détruisant le bulbe pileux, elle limite les repousses sous-cutanées, les inflammations et les marques pigmentaires ou cicatricielles.
Concernant votre tatouage sur la cheville, il est important de noter que le laser épilatoire ne doit jamais être appliqué sur une zone tatouée. Cela pourrait entraîner des brûlures et altérer les pigments. Cette zone sera donc soigneusement contournée lors des séances.
Une consultation médicale préalable est indispensable pour évaluer votre peau, adapter le protocole laser à votre phototype, et vous proposer une prise en charge globale et personnalisée.
Bien à vous.
Le Cabinet du Dr Husson
Anne
Publié le 30 mai 2025
Bonjour Dr Husson, est-ce que vous appliquer immédiatement après l’épilation définitive au laser un anti-irritant sur la zone épilée ? Merci d’avance.
Dr Husson
Publié le 17 juin 2025
Bonjour,
Merci pour votre question.
Oui, immédiatement après une séance d’épilation laser, une crème grasse hydratante et apaisante est systématiquement appliquée sur la zone traitée. Ce soin permet de calmer les rougeurs, de limiter les sensations d’échauffement et d’améliorer le confort post-traitement.
En cas de sensation de brûlure, de démangeaisons persistantes ou de réaction inhabituelle, il est vivement recommandé de contacter le cabinet pour un avis médical rapide.
Des conseils personnalisés vous sont également remis après chaque séance, incluant notamment l’éviction solaire et l’hydratation régulière de la peau dans les jours suivants.
N’hésitez pas à nous joindre pour toute autre question.
Le Cabinet du Dr Husson
Nadège
Publié le 30 avril 2025
Existe-t-il des méthodes non laser recommandées pour le retrait de tatouages colorés ou particulièrement profonds ?Merci.
Dr Husson
Publié le 18 juin 2025
Bonjour,
Merci pour votre question.
Aujourd’hui, on estime qu’environ une personne tatouée sur quatre souhaite faire retirer son tatouage. Si c’est votre cas, sachez qu’il existe des technologies médicales approuvées et éprouvées.
En France, le retrait de tatouage est considéré comme un acte médical. Il doit donc être réalisé dans un cadre strict, avec des dispositifs agréés, pour limiter les risques et garantir un résultat maîtrisé. Parmi les technologies disponibles, les lasers picosecondes et nanosecondes sont aujourd’hui la référence en matière de sécurité et d’efficacité.
Ces lasers fragmentent les particules d’encre sous la peau sans endommager l’épiderme. Ils sont bien plus précis que les anciens lasers CO₂, autrefois utilisés mais responsables de nombreuses cicatrices. Les appareils actuels permettent d’adapter les paramètres du traitement en fonction des caractéristiques du tatouage (couleur, profondeur, ancienneté) et du type de peau.
Le traitement est progressif, nécessite plusieurs séances espacées, et donne de bons résultats sur la plupart des encres, bien que certaines couleurs claires (jaune, vert clair, turquoise) puissent être plus résistantes.
Face à la demande croissante, certaines méthodes non laser sont proposées en ligne ou dans des structures non médicales. Il est essentiel de rester vigilant : la grande majorité de ces techniques sont inefficaces voire dangereuses.
1- Crèmes dites « naturelles »
Souvent à base de citron, d’argile, de lait ou de substances végétales mal identifiées, ces produits promettent de « blanchir » la peau ou de « dissoudre » le tatouage. En réalité, elles ne pénètrent pas jusqu’au derme, où se trouvent les pigments, et peuvent provoquer des irritations cutanées sans effet réel sur le tatouage.
2- Détatouage par acide lactique ou glycolique
Ce procédé consiste à injecter un produit acide directement dans la peau pour provoquer une réaction inflammatoire, entraînant la formation d’une croûte censée emporter les pigments en cicatrisant. Bien que parfois présenté comme une alternative « sans laser », ce traitement s’accompagne de risques importants : – brûlures ou ulcères, – cicatrices en creux ou chéloïdes, – nécrose tissulaire dans les cas les plus graves. En l’absence d’encadrement médical, ces interventions sont parfois réalisées par des non-médecins (tatoueurs, esthéticiennes), ce qui accroît considérablement le risque de complications.
3- Dermabrasion et excision chirurgicale
Ces techniques plus anciennes, consistant à poncer la peau ou à retirer la zone tatouée chirurgicalement, peuvent laisser des cicatrices importantes. Elles ne sont envisagées que dans de très rares cas.
Les lasers dermatologiques (picosecondes et nanosecondes) reste des seules solutions à la fois sûres, encadrées et éprouvées scientifiquement pour retirer un tatouage. Ils permettent :
– d’agir en profondeur, sans abîmer la peau en surface,
– de cibler précisément les pigments,
– de limiter les risques de cicatrices,
– d’adapter le traitement à chaque cas.
Avant d’envisager un traitement, une consultation médicale est indispensable pour évaluer votre peau, votre tatouage, et poser les bonnes indications. Un test préalable peut être proposé pour apprécier la réaction cutanée sur une petite zone.
Bien à vous.
Le Cabinet du Dr Husson
Hélène
Publié le 30 mars 2025
Bonjour Docteur, est-il sécuritaire d’opter pour des injections d’acide hyaluronique pour traiter les rides du lion si je suis actuellement sous traitement pour l’épilepsie ? Merci.
Dr Husson
Publié le 18 juin 2025
Bonjour,
Merci pour votre question importante, qui permet de préciser clairement certains points essentiels en médecine esthétique concernant le traitement des rides du lion.
Qu’est-ce que l’acide hyaluronique ?
L’acide hyaluronique est une molécule naturellement présente dans la peau, où elle joue un rôle crucial dans l’hydratation, l’élasticité et la fermité des tissus. En médecine esthétique, il est principalement utilisé pour combler les rides profondes, redonner du volume au visage, hydrater intensément ou corriger certains défauts cutanés.
Traitement des rides du lion : attention au choix du traitement
Les rides du lion, situées entre les sourcils (zone appelée « glabelle »), sont dues aux contractions répétées des muscles responsables des expressions faciales, notamment lors des froncements de sourcils.
Cette zone est particulièrement sensible en raison de la présence de vaisseaux sanguins importants. C’est pourquoi l’injection d’acide hyaluronique dans cette région présente un risque élevé de complication vasculaire, notamment :
– une nécrose cutanée (destruction locale des tissus pouvant entraîner une cicatrice),
– exceptionnellement, une occlusion artérielle rétinienne pouvant entraîner une perte définitive de la vision.
Ces complications, bien que rares, sont suffisamment graves pour éviter d’utiliser l’acide hyaluronique dans cette région.
Le traitement idéal des rides du lion : la toxine botulique
La toxine botulique (marques commerciales telles que Vistabel®, Azzalure®, Bocouture®) est aujourd’hui le traitement de référence pour les rides du lion. Elle agit en détendant temporairement les muscles responsables des rides d’expression. Son utilisation permet de lisser efficacement et en toute sécurité cette région du visage, avec des résultats naturels durant généralement de 4 à 6 mois.
Acide hyaluronique et épilepsie : pas de contre-indication stricte
Votre traitement contre l’épilepsie ne constitue pas une contre-indication absolue à l’utilisation d’acide hyaluronique ou de toxine botulique. Cependant, il est essentiel de réaliser une consultation préalable pour vérifier que vos crises sont bien contrôlées et que les injections peuvent être réalisées confortablement et sans stress particulier pour vous. L’avis de votre neurologue peut être utile si nécessaire.
En résumé :
– Acide hyaluronique : indiqué pour combler les rides profondes et restaurer les volumes, mais à éviter absolument en première intention pour les rides du lion.
– Toxine botulique : traitement sûr, efficace, recommandé en première intention pour les rides du lion.
– Épilepsie : pas de contre-indication stricte, mais nécessite une consultation préalable et si besoin, l’avis complémentaire de votre neurologue.
Nous restons à votre entière disposition pour toute question complémentaire.
Bien à vous.
Le Cabinet du Dr Husson